L'histoire du thé à Maurice remonte à 1760. Les Français ne savaient pas à l’époque que les Anglais allaient monétiser leurs plantations de thé à Maurice.

Mais grâce à l'arrivée des Anglais, la tradition s'est implantée à Maurice.

Le théier, connu sous le nom de Camellia Sinensis, a été introduit par le prêtre français Père Galloys. Le botaniste Pierre Poivre, quant à lui, agrandit l'extension de son musée.

Le développement a été poussé par les Britanniques.

Ce sont les Britanniques arrivés sur l'île au XIXe siècle qui favorisent le développement commercial du thé dans les régions de Nouvelle-France et de Chamarel. Les plantations privées et les usines de thé ont prospéré, suivant la tendance déclenchée.

En quelques années, depuis son introduction du Sri Lanka (anciennement Ceylan) en 1872 jusqu'en 1919, le thé à la vanille est devenu la boisson préférée des Mauriciens, une passion qui perdure encore aujourd'hui.

Les marques bien connues Bois Cheri et Corson sont actuellement les deux piliers du marché du thé à Maurice.

Les plantations de thé des hauts plateaux mauriciens, couvrant une superficie de 680 hectares, bénéficient de conditions climatiques idéales pour la culture des théiers.

L'excellente qualité du thé mauricien, dont la production est garantie sans pesticides, ne se fait heureusement pas au détriment de l'environnement.

Ils auraient certainement admiré le savoir-faire et les capacités des femmes dans les champs, cueillant les feuilles de thé avec leurs sacs sur le dos.

Les feuilles cueillies sont ensuite transportées à l’usine pour être séchées et transformées en thé.

A déguster seul dans une ambiance zen ou plus convivialement à plusieurs...

Êtes-vous un thé noir traditionnel ou un thé à la vanille populaire, avec ou sans sucre, avec ou sans lait ?